Tourisme à Lima

J'ai choisi de traiter dans ce blog, un sujet qui me tient à cœur, celui du Pérou et plus particulièrement Lima. En effet, j'ai eu la possibilité de vivre dans ce pays pendant un an. J'ai vécu en grande partie à Lima, ville, dans laquelle j'ai travaillé, mais j'ai eu l'occasion de visiter le pays au cours de week-end et/ ou vacances.
Je voudrai à travers ce blog, vous faire connaître Lima en partageant mon expérience personnelle.
Grâce à sa géographie, son histoire, son patrimoine et son potentiel naturel le Pérou propose une large variété de tourisme qui fait, du pays, une des destinations les plus touristiques de l'Amérique Latine.
Ses trois régions distinctes (représentées sur le drapeau du pays), la côte, la montagne et la forêt tropicale, saura charmer tous types de touristes. Le symbole péruvien est, sans aucun doute, le Machu Pichu, mais appart  toutes les merveilles du pays des Incas, la capitale péruvienne reste souvent marginalisé de l’aspect touristique. C'est pour cela qu'en parcourant mon blog je veux vous offrir quelques inspirations pour mieux pouvoir découvrir cette ville emblématique.

 La capitale péruvienne, Lima est une ville qui compte beaucoup de diversités. Elle est, à la fois, moderne, en effet, elle peut être comparée à toutes les grandes métropoles du monde mais c'est une ville qui a été influencé par les traditions et les différentes cultures péruviennes. Souvent, les touristes qui se rendent au Pérou, sont de passage à Lima. Du fait, que ce soit la capitale et une grande ville sud-américaine, elle est facilement comparée à d'autres grandes métropoles du continent, du coup la ville est assimilée à beaucoup de clichés; comme ceux de ville dangereuse, polluée, chaotique.

Le Pérou recense tant de sites et monuments à visiter que les gens ne prennent pas le temps de découvrir ce que Lima a à offrir. Personnellement, j'ai eu la possibilité de vivre quelques mois à Lima, en découvrant cette ville, j'ai appris à connaître un peuple, une histoire, une culture et j'en suis tombé amoureux !

Le centre historique et le Rimac:

Le centre historique et l’ancienne ville du Rimac se situent l'un à côté de l'autre, séparé seulement par le fleuve du même nom, Rimac. Ces deux quartiers sont les quartiers les plus vieux de la ville, fondé par Francizco Pizarro en 1535. C'est, par conséquent, le quartier le plus ancien de la ville, ayant le plus de sites historiques et de monuments inscrits au patrimoine. Pendants les années 50 et 60, mais surtout dans les années 80, le centre historique a été affecté par la modernisation de la ville qui menait à une urbanisation des vieilles rues coloniales. Même en ayant vécu une forte transformation, on peut encore, aujourd’hui,  ressentir l'importance et la splendeur qu'a vécu Lima pendant ses années de colonisation.

Après les années de modernisation, l'aristocratie a de plus en plus déménagée du centre-ville aux alentours, plus précisément a Miraflores, ce qui présente le début de la dégradation des quartiers du centre. Comme dans plusieurs villes sud-américaines, depuis les années 70, on pouvait remarquer un exil depuis les quartiers historiques en faveur des nouveaux quartiers du centre économique. C'est, alors, à partir de ces années, que ce sont installées les SDF, la prostitution, les drogues et avec tout cela, évidemment aussi la délinquance. C'est sans doute à cause de ce développement  que le centre historique a construit sa réputation d’endroit dégradé dans lequel, peu de fois, un liménien de la haute société viens se perdre.

Néanmoins, la municipalité de Lima a fait beaucoup d'efforts pour améliorer les situations afin de promouvoir le quartier, et, finalement regagner cet endroit. Aujourd'hui, la situation est devenue meilleure, et, surtout, dans la zone entre les deux places centrales de la ville, Plaza Mayor et Plaza San Martín. Ce qui est, selon moi, très intéressant dans ce quartier, est le fait que ce n'est pas un Lima artificiel et « à la américaine » comme peut être le quartier de Miraflores. Le quartier, de part son passé, a conservé  sa modestie et a pris en compte les traditions péruviennes. C'est donc dans un environnement pareil que le touriste peut trouver des endroits très "authentiques" entre un mélange de métropole et de traditions, comme par exemple, un des nombreux restaurants de cuisine Andine, des bars où se représentent des groupes locaux en utilisant des instruments traditionnels péruvien  ou encore des marchés artisanaux etc… La vie du centre perpétue, donc, ses diverses identités péruviennes.

Alors même si la partie du centre historique la plus emblématique a pu être revalorisée, il y a toujours des coins dans l'ancienne ville qui sont menacés par la dégradation et la mauvaise ambiance, comme, c'est le cas du Rimac et Barrios Altos. Ces deux quartiers font également partie de l ancien centre historique et ont un charme aussi flagrant mais il ne vaut peut-être mieux pas y aller sans tour guidé car la situation reste toujours instable.

Que faire ?

1.     El Cerro San Cristóbal:

Le Cerro San Cristóbal est l’endroit duquel on peut se faire une idée des vraies dimensions de cette ville énorme en extension. Pour y accéder on peut soit prendre le bus ou aller à pied, sauf que la dernière option devrait seulement être considérée en cas d’une pérégrination (comme peut-être la pérégrination de Pâque ou du 1^er mai) à cause de l’état d’instabilité dans les zones du pied de la montagne. Pour ceux qui ne veulent pas s’exposer à de dangers, il y a toujours la possibilité de prendre le bus à la « Plaza de Armas » qui emmène les touristes pour 5 soles au pic de la montagne. Arrivé là-bas, vous y trouverez la grande croix chrétienne qui date des époques du colonialisme, et sur tout, vous y pourriez profiter de la vu impressionnante qui arrive, en cas de bon temps, jusqu’à la côte.

2.      Feria de Amazonas :

Jirón Amazonas, 1

La « Feria de Amazonas » est l’endroit parfait pour les aimants des livres. Un grand marché ouvert qui se dédie à la vente de livres de tout type, souvent en version copiée. Équipé même d’un espace de lecture et de plusieurs forains qui vendent toute sorte d’alimentation typique et jus, on peut y passé des journées entières à y profité de la grande richesse intellectuelle.

3.      La vie nocturne autour de la Plaza San Martín:

Comme j’avais déjà fait la remarque dans l’introduction à ce chapitre, le centre est connu pour continuer à vivre d’une façon mélangeant la culture péruvienne avec les influences internationales. L’endroit dans lequel cela peut être vécu particulièrement est le vieux centre historique.

Une des références peut être le club « Etnias » situé juste à l’angle de la Plaza San Martín avec le Jiron Carabaya. Cet endroit est un mélange entre centre culturel pendent la journée, bar en soirée, et finalement les weekends il se transforme en boîte de nuit. Pendant la journée il n’est pas rare d’y trouver des shamans faisant des rituelles andine ou selvatique, des activités spirituelles, ou simplement des séances de lecture. Pendant la soirée/nuit c’est quand l’endroit commence avec des petits concerts de groupes locaux et finalement devient boîte en jouant tous tipes de musique, commençant avec Bob Marley puis de la cumbia péruvienne et en arrivant jusqu’à la dernière mode de la musique électronique européenne.

4.      Le Bar « Queirolo »

Jirón Quilqua, 2

Si depuis la « Plaza San Martín » vous déscendez un peu plus en direction « Avenida Washington », vous trouverez une petite ruelle qui s’appelle « Jirón Quilca ». Cette petite ruelle a une histoire récente qui l’a fait devenir fameux à cause de ces belles performances de street art. (Voire photo)

Juste en face de cette exposition d’art urbaine vous trouverez le bar Queirolo, un des plus anciens mais toujours plus actuel bar du centre-ville. C’est ici que tous les grand intellectuels péruviens ont déroulé leurs pensés et, sûr tout, c’est où la musique créole liménienne a pu garder son caractère authentique. Jusqu’aujourd’hui vous pourriez y trouver des artistes de ce genre performant dans un espace authentique et modeste.

Miraflores est le quartier le plus “occidental” de Lima. C’est le quartier le plus chic de la ville avec une longue tradition de bourgeoisie et de héritage de la société haute liménienne. C’est à ce quartier que dans les années postcoloniales les gens d’influence et d’argent du centre-ville ont réfugiées pour s’y construire une maison en tranquillité au bord de la mer, au delà du bruit et du stress de la ville. Ayant passée des siècles depuis le temps de l’aristocratie de Miraflores, aujourd’hui le quartier reste sans doute de haut nivèle social, mais il c’est rendu de plus en plus urbain jusque à devenir le centre économique et commercial qu’il est aujourd’hui. Aujourd’hui Miraflores compte avec tous les grand centres commerciales, les grandes marques mondiales et de immenses centres de loisir; c’est donc pour cela que le quartier et aussi devenu le principal refuge des touristes étrangers.

Je ne veux pas poser en doute le fait que Miraflores a des côtés très beaux et que surtout en ce qui concerne la qualité gastronomique et la vie nocturne ce quartier a beaucoup à offrir, mais je pense que Miraflores est loin d’être le quartier le plus intéressant de Lima.

Que faire ?

1.      Larco Mar:

Larco Mar, c'est le centre commercial ou centre de loisir le plus connu du Pérou. Même si ce n'est pas le plus grand, il est sans doute le plus représentatif pour son quartier: Miraflores. Situé juste devant la plage du quartier avec une vue incomparable, cet endroit est un des points les plus touristiques dans la ville de Lima. Pour les gens qui aiment les soirées au grand style, il est indispensable de passer par les discothèques Gotica ou Aura. Ces deux discothèques sont situées dans une des terrasses du centre commercial, cavé dans le rocher, ayant une vue très belle: ce n'est sans doute un point de référence pour ce qui aiment profiter du confort urbain péruvien.

Larco Mar est, en plus, un endroit représentatif pour la mentalité « pituca » de la haute société limaine. Le mot « pituco » se peut traduire au français comme bourgeois, et plus précisément dans le langage commun au Pérou il veut faire référence aux gens d’argent qui ne s’occupent pas vraiment des problèmes sociaux que le Pérou est en train de vivre. 

2.      Malecón de Miraflores :

Le « Malecón de Miraflores » est la promenade au long de la côte qui commence à peu près a la hauteur du quartier de San Isidro et va jusqu'à Barranco, le quartier bohème. Après des années de mise en valeur de ce projet, aujourd’hui, le « Malecon » est devenue une grande succession de parcs avec de nombreuses offertes sportives et commerciales, depuis lesquelles on peut profiter de la belle vu sur la mer.

Pour les voyageurs actifs, il est hautement recommandable de profiter le temps à Miraflores pour faire du parachute, déjà que l’expérience de se lancer des rocher de la ville vers la mer ouverte est réellement unique et les prix sont comparativement bas. (Voir vidéo)

Parapente - Lima

3.       Luz Verde :

Calle Manuel Bonilla 18

« Luz Verde » est un bar, situé dans le quartier de Miraflores qu’à la base est simplement un bar typique péruvien sans beaucoup de déco ni d’extravagance, c’est son simplicité (et sûrement aussi ses prix) qui l’ont fait recevoir son réputation actuel :  Le petit bar du coin, musique cumbia, bouffe typique mais simple et surtout l’illumination verte indispensable l’ont fait devenir le spot artistique et culturel du quartier. Sans doute un lieu recommandable pour débuter la soirée.

Barranco, c’est le quartier duquel on dit être le plus romantique et bohème, étant maison et lieu de travail de beaucoup d’ artistes, musiciens, designers et photographes péruviens. Pendant le 19^ième siècle, Barranco a été le ressort de plage pour l’aristocratie liménienne et beaucoup de gens allaient passer leurs étés sur la côte. Aujourd’hui, Barranco est devenu un des spots les plus demandé internationalement par la communauté des surfeurs. Aussi et sur tout sa vie culturelle y est d'intérêt en offrant des concerts de rock, de la musique créole ou andine, des présentations de livres, des marchés artisanales, des boutiques de design etc. Certainement un des quartiers les plus actif dans le domaine culturelle de la capital.

1.       Les alentours du « Puente de los suspiros » :

Les gens qui veulent s’en fuir un peu du bruit et du stress du centre ville de Lima choisissent souvent les alentours du « Puente de los suspiros » à Barranco pour venir s’y relaxer. Le pont lui-même lie les deux partie d’un clivage de deux rochers, sous lequel passent des petits ruelles qui mènent jusqu’à la plage de Barranco. Vous y trouverez plein d’artistes autonomes qui créent leurs peintures du paysage ou qui vendent leurs produits faites à main. Au long de la descente et dans les ruelles proches vous y trouverez en plus pas mal de petits restaurants ou cafés avec des offertes gastronomiques régionaux dans une ambiance remplie de musique.

2.       El Sargento Pimienta:

Avenida Bolognesi 757, Barranco

Le « Sargento Pimienta » est un club qui existe déjà depuis 3 décennies et, pour autant, c’est une référence pour les gens intéressés au rock péruvien. C’est ici où beaucoup de groups de rock nationaux ont débuté leur carrière. Jusqu’aujourd’hui l’ambiance de cet endroit, pour certains légendaire, reste modeste mais exigeant aux gouts musicaux. Pour les voyageurs intéressés à connaître les fusions intéressantes de la musique locale avec la musique étrangère c’est un endroit définitivement indispensable.

3.            La « casa Kambalache »

Calle Vigill Morelli, 15

Pas loin du « Sargento Pimienta » vous allez pouvoir trouver la maison « Kambalache » : un endroit d’exposition pour l’artisane mais à la fois un des endroits les plus avant-garde  de la musique électronique de Lima. Ce mélange peut paraître étrange, mais il est néanmoins représentatif pour l’ambiance de Barranco. Pendant la journée il y a souvent des expositions qui permettent aux petits artisans de la ville de se faire connaître, et les week-end la petite maison résidentielle devient un endroit de fête pour les aimants de la musique expérimentale et ne s’arrête souvent pas avant les premières heures du matin.     

Après avoir passé mon baccalauréat, j´ai décidé de quitter l Allemagne, idée, que j’avais en tête depuis très longtemps. J’ai bénéficie du service militaire établi en Allemagne, qui permet aux jeunes intéressés de passer une année a l’étranger en effectuant des travaux sociaux. À cette occasion j’ai reçu une subvention de la part de l’état, qui incluait vol, logement et alimentation,  et qui était destinée aux élèves récemment sortis du lycée. Je n´ai pas doute une minute, j ai alors envoyé ma candidature  pour partir en Chine. Apres de nombreux entretiens, j’ai obtenu une place assigné à Xi’an, en Chine.

Un mois avant mon départ, on m’a alors averti que je ne pourrai malheureusement pas, partir en chine et qu’il fallait que je trouve une destination alternative. Compte tenu du délai, il n'y avait plus beaucoup de choix, on m’a proposé l’Amérique du Sud, destination a laquelle je n avais pas pensé, j’ai finalement oriente mes recherches sur quelques pays et j’ai décidé de partir au  Pérou. 

Le Pérou était un pays que j’avais du mal à imaginer. Et quelques jours avant mon départ, j ai commence à douter de mon choix. Une année entière dans un pays pour lequel je n avais jusqu’à présent aucun intérêts  m’apporterait elle la même satisfaction que j’aurai éprouvé lors de mon séjour en chine?

Dès mon arrivée sur le sol péruvien, toutes mes interrogations et mes préjugés avaient disparu. Après deux jours de visites dans la capitale, j’ai commencé à travailler au sein d’une école « Waldorf », c’est à dire une école d’éducation allemande en tant que volontaire et professeur assistant. L’école se situait dans un quartier ouvrier et plutôt pauvre en périphérie.

 Le collège s´est chargé de me trouver une famille d’accueil sur place, pour un an. Au début, cela n était pas très clair, car ils n y avaient aucune famille disponible pour l année entière.  Comme il n y avait pas de volontaires, j ai dû rester une semaine dans la maison de la mère d’une professeure de l’école. Le manque d informations et d’organisation m´ont un peu perturbé, mais très vite, j’ai appris et compris que les valeurs péruviennes étaient très différentes de ce que nous sommes habitués en Europe. Au fur et à mesure je me suis senti très à l’aise au sein de la collocation de plusieurs générations, et nous avons finalement pris la décision  que je resterai  avec eux toute l’année.

Je me suis très vite rendu compte que Lima n’était pas une ville comme les autres.  Étant la seconde ville désertique au monde, après Le Caire, Lima présente, tout de même, des  inconvénients  majeurs quant à son infrastructure (embouteillages et de bruits) et son environnement (pollution, poussière…).

Personnellement, je n’avais jamais été confronté à des villes de cette dimension,  il faut tenir en compte que Lima à une population estimée entre 8 et 10 millions d’habitants. Évidemment avec tous ces mouvements de population, la criminalité  a augmenté à Lima et dans de nombreuses villes Sud-Américaines.

   A cause des insécurités urbaines, je me suis senti moins libre  lors de mes déplacements quotidiens. De plus que le quartier où j’étais hébergé, El Agustino, était l’un des quartiers les plus précaires de la ville. Pour aller par exemple à la station de bus, il fallait toujours que quelqu’un de la famille m’accompagne. Après quelques semaines je pensais que cette mesure était exagérée, mais finalement, le jour où je suis sorti tout seul, je me suis fait voler mon portefeuille en pleine journée. Cette expérience m’a beaucoup fait réfléchir et je me suis demandé si j’étais près à rester aussi longtemps  dans cette ville.

C’était sans doute la gentillesse, l’amabilité de la famille d’accueil et le travail avec les élèves de mon école qui  m’ont donné la motivation et l’envie de rester. Peu à peu j’ai aussi compris que Lima n’était pas seulement cette ville bruyante et dangereuse, mais que la ville avait infiniment d’offres culturelles et de loisirs. Assez rapidement, je me suis fais des amis, et rencontré quelqu’un, ce qui m’a permis de connaître Lima de différents points de vues. J’ai eu plusieurs occasions de connaître les différents quartiers de la ville et je suis sur, qu’après  cette  année d’exploration, il reste encore beaucoup  de chose à faire lors d’un prochain voyage.

Ayant en compte que Lima est une ville aussi grande, des fois l’orientation peut-être confuse. La ville n’a pas de système de métro, même si pendant ces jours-là ils sont en train de terminer un projet de train électrique qui va croiser la ville du nord au sud. À part du train électrique il existe aussi un bus dénommé « metropolitano » qui peut rendre service si on a l’intension d’aller du centre historique au centre économique (Miraflores, San Isidro) ou à Barranco en dépensant très peu. (Le trajet coûte 1 sol, ce qui égale 25 centimes d’Euro)

Néanmoins, si une fois on a compris les locations des différents quartiers, l’orientation devient vite facile, car la ville est construite comme la majorité des villes américaine à base de pâtés de maisons. Ayant donc appris un sens des points cardinaux, d’une façon ou d’une autre, vous arriverez toujours à la destination prévue.

Mais comme Lima est une ville extraordinairement vaste, souvent il est nécessaire de faire des grands déplacements. Il est hautement recommandable de s’orienter à base des grandes avenues, car les lignes de bus fonctionnent d’une manière qu’ils parcourent sur tout ceux- ci. Le nom des grandes avenues est écrit sur les côtés des busses, et en plus chaque bus a un « cobrador », une personne qui passe par les rangs pour vendre les billets de bus. Il est toujours possible de demander cette personne de prévenir en arrivant à l’endroit  désiré.

Personnellement je recommande à tous les voyageurs de faire l’expérience de prendre un bus au lieu de payer trop cher pour les taxis, car comme les taxis de Lima n’ont pas de taximètres, les pris sont négociés avant le départ. Souvent cela mène à une exagération excessive des prix, sur tout, quand les clients sont des touristes. En tout cas, le bus représente toujours une alternative moins chère et sans doute aventureux.